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Article N°23392
20 JOURS DANS LES ÉTOILES ! Alain Crivelli @Alaincrivelli
Ce record signifie beaucoup de choses pour moi, et j'ai besoin d'aide et de sponsors pour réaliser ce périple, payer le Guinness des Records et bien entendu, financer les voyages pour rejoindre les 20 Chefs étoilés prêts à m'accueillir pour une journée de travail.
Je fais donc appel à toutes les bonnes volontés, entreprises, fournisseurs, chefs, etc.
Je fais donc appel à toutes les bonnes volontés, entreprises, fournisseurs, chefs, etc.
J'AI FAIT ÉGALEMENT UNE CAGNOTTE POUR FINANCER MON ENGAGEMENT
La cagnotte en ligne >
POURQUOI CE GUINNESS DES RECORDS ?
Né à Lyon, j'aurai 60 ans le 22 décembre 2019. La vie est un long voyage, et le mien a décollé à l'âge de 16 ans lorsque j'ai intégré la Marine Nationale à l’École des Mousses. J’ai quitté Lyon, ma vie, mes amis d'enfance, ma famille... Une belle école de la vie et la Bretagne m'a conquis; je ne suis jamais revenu vivre à Lyon. J’ai quitté la Marine au bout de 10 ans, et j'ai fait carrière dans la communication pendant près de 30 ans !
A l'époque, mon père a bien entendu beaucoup compté dans cette prise de décision. Et mes parents, même s'ils en étaient fiers, devaient sans doute parfois regretter de ne plus m'avoir à leurs côtés. Mon père était à mes yeux l'homme de référence. Celui qui m'a appris patiemment tant de choses, qui m’a donné l’éducation. Il était toujours positif et débordant d’optimisme, toujours à l’écoute. Avec lui, j’ai partagé tant de joies, il m’a soutenu dans tant d’épreuves. Jusqu'à la fin, il a su me faire ressentir les choses d'un simple regard, d'une simple parole.
Celle qu'il m'a dite peu de temps avant son départ, m'a touché, m'a fait réfléchir sur le cours de ma vie. Une décision dans une vie peut changer tellement de choses, on appelle ça « l'effet papillon ». Celle que j'ai prise avec lui, de partir dans la Marine, a eu beaucoup de conséquences. Il y a deux ans, peu de temps avant qu'il nous ait quittés, après la diffusion d'une émission de TV à laquelle je participais, il m'a dit une phrase qui m'a marqué.
« Tu es un vrai cuisinier maintenant, et si tu n'étais pas parti dans la marine, peut-être aurais-tu fait cuisinier à Lyon, et je me demande ce que tu ferais aujourd’hui ?... Sans doute un très grand chef ! »
Cette phrase m'a fait rêver d'une carrière que je n'ai jamais connue dans ce beau métier. Aurais-je exercé avec des chefs étoilés ? Dans combien de grands restaurants aurais-je pu travailler ? Peut-être même « La maison Bocuse », qui sait ? Ma passion, c'est la cuisine. Les chefs étoilés sont nos phares, nos guides.
On apprend tellement de choses auprès d'eux. J’ai eu l'occasion d'entrer dans une cuisine avec des grands chefs comme Olivier BELLIN, Yvon MORVAN, Phillippe LE BIGOT, Julien MARSEAULT, Fred CLAQUIN, Guillaume PAPE, Loic LE BAIL, Anthony HARDY, David BERGOT, etc... et de faire des repas avec encore de nombreux grands chefs étoilés pour «Les Bouffons de la Cuisine» avec Michel TRAMA, Patrick JEFFROY, David ROYER, Mathieu MENGUY, Jacques THOREL, Bernard RAMBAUD... et j'en oublie...
« Si vous êtes prêt et motivé, dans la restauration, il n’y a pas un endroit où je vais où ils ne me disent pas qu’ils cherchent des gens. Je traverse la rue, je vous en trouve...»
Cette phrase que notre Président lançait à un chômeur en 2018 m'a fait réagir.
A l'âge de 57 ans, après un licenciement économique, j'ai traversé la rue et j'ai lancé ma reconversion. J'ai passé mon CAP de cuisine, et pu faire de ma passion, mon métier ! 12 émissions de TV à mon actif m'ont permis de me former, et me rendre plus fort pour me lancer de gros défis dans ce domaine.
Aujourd'hui, je suis formateur cuisine, et heureux de faire ce métier. Mais voilà, on ne peut rattraper ni regretter le temps qui passe, ces maisons où je ne suis finalement jamais allé, je veux y travailler, en peu de temps certes, mais au moins, je ne regretterai rien !
Peu de personnes au monde a travaillé dans 20 établissements étoilés, ce sera donc un record du monde !
Ce record signifie beaucoup de choses pour moi, et j'ai besoin d'aide et de sponsors pour réaliser ce périple, payer le Guinness des Records et bien entendu, financer les voyages pour rejoindre les 20 Chefs étoilés prêts à m'accueillir pour une journée de travail.
Je fais donc appel à toutes les bonnes volontés, entreprises, fournisseurs, chefs, etc.
J'AI FAIT ÉGALEMENT UNE CAGNOTTE POUR FINANCER MON ENGAGEMENT
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POURQUOI CE GUINNESS DES RECORDS ?
Né à Lyon, j'aurai 60 ans le 22 décembre 2019. La vie est un long voyage, et le mien a décollé à l'âge de 16 ans lorsque j'ai intégré la Marine Nationale à l’École des Mousses. J’ai quitté Lyon, ma vie, mes amis d'enfance, ma famille... Une belle école de la vie et la Bretagne m'a conquis; je ne suis jamais revenu vivre à Lyon. J’ai quitté la Marine au bout de 10 ans, et j'ai fait carrière dans la communication pendant près de 30 ans !
A l'époque, mon père a bien entendu beaucoup compté dans cette prise de décision. Et mes parents, même s'ils en étaient fiers, devaient sans doute parfois regretter de ne plus m'avoir à leurs côtés. Mon père était à mes yeux l'homme de référence. Celui qui m'a appris patiemment tant de choses, qui m’a donné l’éducation. Il était toujours positif et débordant d’optimisme, toujours à l’écoute. Avec lui, j’ai partagé tant de joies, il m’a soutenu dans tant d’épreuves. Jusqu'à la fin, il a su me faire ressentir les choses d'un simple regard, d'une simple parole.
Celle qu'il m'a dite peu de temps avant son départ, m'a touché, m'a fait réfléchir sur le cours de ma vie. Une décision dans une vie peut changer tellement de choses, on appelle ça « l'effet papillon ». Celle que j'ai prise avec lui, de partir dans la Marine, a eu beaucoup de conséquences. Il y a deux ans, peu de temps avant qu'il nous ait quittés, après la diffusion d'une émission de TV à laquelle je participais, il m'a dit une phrase qui m'a marqué.
« Tu es un vrai cuisinier maintenant, et si tu n'étais pas parti dans la marine, peut-être aurais-tu fait cuisinier à Lyon, et je me demande ce que tu ferais aujourd’hui ?... Sans doute un très grand chef ! »
Cette phrase m'a fait rêver d'une carrière que je n'ai jamais connue dans ce beau métier. Aurais-je exercé avec des chefs étoilés ? Dans combien de grands restaurants aurais-je pu travailler ? Peut-être même « La maison Bocuse », qui sait ? Ma passion, c'est la cuisine. Les chefs étoilés sont nos phares, nos guides.
On apprend tellement de choses auprès d'eux. J’ai eu l'occasion d'entrer dans une cuisine avec des grands chefs comme Olivier BELLIN, Yvon MORVAN, Phillippe LE BIGOT, Julien MARSEAULT, Fred CLAQUIN, Guillaume PAPE, Loic LE BAIL, Anthony HARDY, David BERGOT, etc... et de faire des repas avec encore de nombreux grands chefs étoilés pour «Les Bouffons de la Cuisine» avec Michel TRAMA, Patrick JEFFROY, David ROYER, Mathieu MENGUY, Jacques THOREL, Bernard RAMBAUD... et j'en oublie...
« Si vous êtes prêt et motivé, dans la restauration, il n’y a pas un endroit où je vais où ils ne me disent pas qu’ils cherchent des gens. Je traverse la rue, je vous en trouve...»
Cette phrase que notre Président lançait à un chômeur en 2018 m'a fait réagir.
A l'âge de 57 ans, après un licenciement économique, j'ai traversé la rue et j'ai lancé ma reconversion. J'ai passé mon CAP de cuisine, et pu faire de ma passion, mon métier ! 12 émissions de TV à mon actif m'ont permis de me former, et me rendre plus fort pour me lancer de gros défis dans ce domaine.
Aujourd'hui, je suis formateur cuisine, et heureux de faire ce métier. Mais voilà, on ne peut rattraper ni regretter le temps qui passe, ces maisons où je ne suis finalement jamais allé, je veux y travailler, en peu de temps certes, mais au moins, je ne regretterai rien !
Peu de personnes au monde a travaillé dans 20 établissements étoilés, ce sera donc un record du monde !
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POURQUOI CE GUINNESS DES RECORDS ?
Né à Lyon, j'aurai 60 ans le 22 décembre 2019. La vie est un long voyage, et le mien a décollé à l'âge de 16 ans lorsque j'ai intégré la Marine Nationale à l’École des Mousses. J’ai quitté Lyon, ma vie, mes amis d'enfance, ma famille... Une belle école de la vie et la Bretagne m'a conquis; je ne suis jamais revenu vivre à Lyon. J’ai quitté la Marine au bout de 10 ans, et j'ai fait carrière dans la communication pendant près de 30 ans !
A l'époque, mon père a bien entendu beaucoup compté dans cette prise de décision. Et mes parents, même s'ils en étaient fiers, devaient sans doute parfois regretter de ne plus m'avoir à leurs côtés. Mon père était à mes yeux l'homme de référence. Celui qui m'a appris patiemment tant de choses, qui m’a donné l’éducation. Il était toujours positif et débordant d’optimisme, toujours à l’écoute. Avec lui, j’ai partagé tant de joies, il m’a soutenu dans tant d’épreuves. Jusqu'à la fin, il a su me faire ressentir les choses d'un simple regard, d'une simple parole.
Celle qu'il m'a dite peu de temps avant son départ, m'a touché, m'a fait réfléchir sur le cours de ma vie. Une décision dans une vie peut changer tellement de choses, on appelle ça « l'effet papillon ». Celle que j'ai prise avec lui, de partir dans la Marine, a eu beaucoup de conséquences. Il y a deux ans, peu de temps avant qu'il nous ait quittés, après la diffusion d'une émission de TV à laquelle je participais, il m'a dit une phrase qui m'a marqué.
« Tu es un vrai cuisinier maintenant, et si tu n'étais pas parti dans la marine, peut-être aurais-tu fait cuisinier à Lyon, et je me demande ce que tu ferais aujourd’hui ?... Sans doute un très grand chef ! »
Cette phrase m'a fait rêver d'une carrière que je n'ai jamais connue dans ce beau métier. Aurais-je exercé avec des chefs étoilés ? Dans combien de grands restaurants aurais-je pu travailler ? Peut-être même « La maison Bocuse », qui sait ? Ma passion, c'est la cuisine. Les chefs étoilés sont nos phares, nos guides.
On apprend tellement de choses auprès d'eux. J’ai eu l'occasion d'entrer dans une cuisine avec des grands chefs comme Olivier BELLIN, Yvon MORVAN, Phillippe LE BIGOT, Julien MARSEAULT, Fred CLAQUIN, Guillaume PAPE, Loic LE BAIL, Anthony HARDY, David BERGOT, etc... et de faire des repas avec encore de nombreux grands chefs étoilés pour «Les Bouffons de la Cuisine» avec Michel TRAMA, Patrick JEFFROY, David ROYER, Mathieu MENGUY, Jacques THOREL, Bernard RAMBAUD... et j'en oublie...
« Si vous êtes prêt et motivé, dans la restauration, il n’y a pas un endroit où je vais où ils ne me disent pas qu’ils cherchent des gens. Je traverse la rue, je vous en trouve...»
Cette phrase que notre Président lançait à un chômeur en 2018 m'a fait réagir.
A l'âge de 57 ans, après un licenciement économique, j'ai traversé la rue et j'ai lancé ma reconversion. J'ai passé mon CAP de cuisine, et pu faire de ma passion, mon métier ! 12 émissions de TV à mon actif m'ont permis de me former, et me rendre plus fort pour me lancer de gros défis dans ce domaine.
Aujourd'hui, je suis formateur cuisine, et heureux de faire ce métier. Mais voilà, on ne peut rattraper ni regretter le temps qui passe, ces maisons où je ne suis finalement jamais allé, je veux y travailler, en peu de temps certes, mais au moins, je ne regretterai rien !
Peu de personnes au monde a travaillé dans 20 établissements étoilés, ce sera donc un record du monde !
Ce record signifie beaucoup de choses pour moi, et j'ai besoin d'aide et de sponsors pour réaliser ce périple, payer le Guinness des Records et bien entendu, financer les voyages pour rejoindre les 20 Chefs étoilés prêts à m'accueillir pour une journée de travail.
Je fais donc appel à toutes les bonnes volontés, entreprises, fournisseurs, chefs, etc.
J'AI FAIT ÉGALEMENT UNE CAGNOTTE POUR FINANCER MON ENGAGEMENT
La cagnotte en ligne >
POURQUOI CE GUINNESS DES RECORDS ?
Né à Lyon, j'aurai 60 ans le 22 décembre 2019. La vie est un long voyage, et le mien a décollé à l'âge de 16 ans lorsque j'ai intégré la Marine Nationale à l’École des Mousses. J’ai quitté Lyon, ma vie, mes amis d'enfance, ma famille... Une belle école de la vie et la Bretagne m'a conquis; je ne suis jamais revenu vivre à Lyon. J’ai quitté la Marine au bout de 10 ans, et j'ai fait carrière dans la communication pendant près de 30 ans !
A l'époque, mon père a bien entendu beaucoup compté dans cette prise de décision. Et mes parents, même s'ils en étaient fiers, devaient sans doute parfois regretter de ne plus m'avoir à leurs côtés. Mon père était à mes yeux l'homme de référence. Celui qui m'a appris patiemment tant de choses, qui m’a donné l’éducation. Il était toujours positif et débordant d’optimisme, toujours à l’écoute. Avec lui, j’ai partagé tant de joies, il m’a soutenu dans tant d’épreuves. Jusqu'à la fin, il a su me faire ressentir les choses d'un simple regard, d'une simple parole.
Celle qu'il m'a dite peu de temps avant son départ, m'a touché, m'a fait réfléchir sur le cours de ma vie. Une décision dans une vie peut changer tellement de choses, on appelle ça « l'effet papillon ». Celle que j'ai prise avec lui, de partir dans la Marine, a eu beaucoup de conséquences. Il y a deux ans, peu de temps avant qu'il nous ait quittés, après la diffusion d'une émission de TV à laquelle je participais, il m'a dit une phrase qui m'a marqué.
« Tu es un vrai cuisinier maintenant, et si tu n'étais pas parti dans la marine, peut-être aurais-tu fait cuisinier à Lyon, et je me demande ce que tu ferais aujourd’hui ?... Sans doute un très grand chef ! »
Cette phrase m'a fait rêver d'une carrière que je n'ai jamais connue dans ce beau métier. Aurais-je exercé avec des chefs étoilés ? Dans combien de grands restaurants aurais-je pu travailler ? Peut-être même « La maison Bocuse », qui sait ? Ma passion, c'est la cuisine. Les chefs étoilés sont nos phares, nos guides.
On apprend tellement de choses auprès d'eux. J’ai eu l'occasion d'entrer dans une cuisine avec des grands chefs comme Olivier BELLIN, Yvon MORVAN, Phillippe LE BIGOT, Julien MARSEAULT, Fred CLAQUIN, Guillaume PAPE, Loic LE BAIL, Anthony HARDY, David BERGOT, etc... et de faire des repas avec encore de nombreux grands chefs étoilés pour «Les Bouffons de la Cuisine» avec Michel TRAMA, Patrick JEFFROY, David ROYER, Mathieu MENGUY, Jacques THOREL, Bernard RAMBAUD... et j'en oublie...
« Si vous êtes prêt et motivé, dans la restauration, il n’y a pas un endroit où je vais où ils ne me disent pas qu’ils cherchent des gens. Je traverse la rue, je vous en trouve...»
Cette phrase que notre Président lançait à un chômeur en 2018 m'a fait réagir.
A l'âge de 57 ans, après un licenciement économique, j'ai traversé la rue et j'ai lancé ma reconversion. J'ai passé mon CAP de cuisine, et pu faire de ma passion, mon métier ! 12 émissions de TV à mon actif m'ont permis de me former, et me rendre plus fort pour me lancer de gros défis dans ce domaine.
Aujourd'hui, je suis formateur cuisine, et heureux de faire ce métier. Mais voilà, on ne peut rattraper ni regretter le temps qui passe, ces maisons où je ne suis finalement jamais allé, je veux y travailler, en peu de temps certes, mais au moins, je ne regretterai rien !
Peu de personnes au monde a travaillé dans 20 établissements étoilés, ce sera donc un record du monde !
Source Alain Crivelli
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